Le Divin ne s'offre qu'à ceux qui s'offrent eux-mêmes à la Divinité.
Sri Aurobindo


Toutes choses sont des déploiements de la connaissance divine.
Vishnou Pourâna, 2.12.39


Toute la vie est un yoga.
Sri Aurobindo, La Synthèse des yogas - I.




lundi 4 janvier 2010

"LA VOIE TELLE QUE JE LA VIS AVEC MERE ET SRI AUROBINDO"


Les pages qui vont suivre sont issues d'un document que j'ai eu entre les mains par la rencontre fortuite avec un chercheur appartenant à la même communauté que celui qui présente ce témoignage de la voie gnostique telle qu'il la vit avec Mère et Sri Aurobindo.

L'originalité de ce document réside dans l'apport de connaissances et de pratiques issues du christianisme comme base spirituelle pour cheminer dans la voie proposée par Sri Aurobindo et La Mère.


Ce témoignage rend compte du potentiel qu'a le yoga intégral de pouvoir inclure toutes les approches qu'elles soient passées, présentes ou à venir pour aider le chercheur dans la transformation intégrale tel que l'ont révélé, ouvert et expérimenté Sri Aurobindo et La Mère.

Puissent donc ces pages être un levier d'inspiration pour le chercheur et un exemple de potentialité et d'originalité que la voie peut lui révéler...

A la fin de cette page est publiée la bibliographie correspondante à cette étude.

Pour une facilité de lecture, la publications ci-dessous des notes correspondant a cet article permettent de s'y référer tout en parcourant les pages suivantes :

LA VOIE TELLE QUE JE LA VIS

 
LE YOGA INTÉGRAL AVEC MÈRE


Ci-dessous l'introduction au témoignage original d'un Frère d'Occident.
 

I. Introduction
Mes Frères, j'ai souhaité par cette planche vous apporter un peu de mon vécu et de mon expérience. Comme vous te savez, depuis pas mal de temps, je suis penché sur les écris d'Aurobindo1 et de Mère2. De Mère principalement, car son mode d'écriture est moins intellectuel et plus pratique. De plus, contrairement à Aurobindo, Mère possède une vision très occidentale de la voie3. Ce qui a fait tilt en moi, c'est la description de leurs expériences sur le chemin. J'avoue que cela collait parfaitement avec ma propre expérience. Cela m'a permis de connaître des chercheurs honnêtes et véritables4.
Dans cette planche je vous définirais la Voie telle que je l'envisage actuellement. Le style sera volontairement synthétique. Nous aborderons ainsi des notions fondamentales. Cela pourra vous sembler intellectuel, mais je peux vous assurer que les points dégagés ne l'ont été que par la pratique. Ensuite, après une rapide description du yoga intégral, je vous commenterais un entretien de Mère qui m'a été transmis par notre Frère Marc.
Vous noterez sa surprenante densité.

SOMMAIRE
INTRODUCTION, NOTES, BIBLIOGRAPHIE

LA VOIE TELLE QUE JE LA VIS

LE YOGA INTÉGRAL AVEC MÈRE



-NOTES-

"INTRODUCTION"
NOTES 1 à 4


1 «.SRI AUROBINDO est né le 15 août 1872 à Calcutta. Dès l'âge de sept ans, son père, médecin, l'envoie faire ses études en Angleterre. Pendant treize années, Sri Aurobindo fera l'apprentissage de l'Occident. En 1893, à l'âge de vingt ans, il quitte Cambridge couvert de prix d'anglais, de français, de latin et de grec, mais renonce à une carrière administrative dans une Inde occupée par l'Angleterre. Après quelques années partagées entre un poste de professeur et le secrétariat particulier du Maharadja de l'état, Sri Aurobindo quitte le Gujérat et s'installe en 1906 à Calcutta pour se lancer ouvertement dans le combat Politique qui lui tient à cœur, Il commence parallèlement sa recherche intérieure, non pour s'évader dans les sphères supérieures, mais comme un pouvoir d'action dans ses activités révolutionnaires contre l'occupant anglais. À la tête du quotidien Bande Mataram, leader acclamé dans la lutte pour l'indépendance, il sera bientôt accusé d'avoir participé à un attentat contre un magistrat britannique et passera un an en prison en attendant son procès. Cette année d'isolement forcé lui fera toucher le problème plus profond, celui de la transformation de la nature humaine. Acquitté, il reprend la lutte, mais en 1910, poursuivi et espionné par la police anglaise, menacé de déportation, il devra se réfugier en territoire français, à Pondichéry. Là commencera soit vrai travail, la « descente » à la racine du problème humain, dans la conscience cellulaire qui recèle le secret de notre évolution future. En 1950, il quittera son corps, laissant à Mère, la tâche de continuer son œuvre. » (http://www.ire-miraditi.org/).

2 « MÈRE est née à Paris le 21 février 1878, dans une famille aisée et parfaitement matérialiste. Étude approfondie de la musique, de la peinture et des mathématiques supérieures. Élève de Gustave Moreau, elle est l'amie des grands impressionnistes. Puis elle fait la connaissance de Max Théon, un personnage énigmatique aux pouvoirs occultes extraordinaires, qui lui donne la première explication cohérente des expériences qu'elle a spontanément depuis son enfance. Au cours de deux longs séjours au domaine de Théon en Algérie, ce dernier lui enseigne l'occultisme. En 1914, elle se rend à Pondichéry, où pour la première fois elle rencontre Sri Aurobindo. Elle retourne définitivement à Pondichéry en 1920, via le Japon et la Chine. Lorsque Sri Aurobindo se retire en 1926 afin de mettre en oeuvre un nouveau principe d'évolution dans la matière, elle organise et développe son Ashram, et tente en vain d'éveiller les disciples à une nouvelle conscience. En 1958, après le départ de Sri Aurobindo, elle se retire à son tour pour aller à la racine du Problème - le changement de la conscience des cellules. De 1958 à 1973, c'est la lente découverte du Grand Passage à la prochaine espèce et d'un nouveau mode de vie dans la matière. Et elle confie son extraordinaire exploration à Satprem. C'est l'Agenda. (http://www.ire-miraditi.org/).
3Mère a vécu en France et fréquenté des occultismes occidentaux. Elle a rejoint Max Théon avant Aurobindo.
4A l'heure actuelle j'ajouterais dans la liste : Schwaller de Lubicz, Louis Cattiaux, Emmanuel Hooghvorst, Mouravieff, Gaston Bardet et Théophane le Reclus.


"LA VOIE TELLE QUE JE LA VIS"
NOTES 5 à 24

5 La voie est le chemin. La compréhension juste et véritable de ces points ne s'opère que par sa propre pratique. Le dépouillement (ou simplification ou nécessité) ne peut véritablement s'effectuer qu'après une longue pratique. Dépouiller la voie intellectuellement ne sert à rien. C'est même une voie de garage.
6 C'est la vision de l'alchimiste. Il existe un monde naturel et un monde parfait qui sont séparés. Le Feu Secret permet à la matière de passer du monde naturel au monde parfait. Pour le Mage c'est le rite. Il existe aussi le modèle Moniste. Se référer à la planche du F. Denis : "Les différents modèles du monde".
7 Cet État de Mage et ce travail de pacification sont à travailler tout au long de la Voir.. En effet, elle sera ponctuée d'inévitables mouvements d'exaltation et de dépression comme nous ne l’observerons pas la suite.
8 Rappelons que Cagliostro dans son rite Maçonnique Égyptien préconisait trois heures de prières quotidiennes aux maçons. Voir la planche du F. Philippe sur la prière.
9 "Je vis, mais ce n'est plus moi, c'est Christ qui vit en moi" (Ga 2,20). Au dires des Pères du désert, la prière peut aussi aller jusqu'à la sensation de Dieu dans les os.
10 Formule rituelle sous forme syllabes parlées à prononcer de nombreuses fois, pour entrer en méditation, dans l'Hindouisme et le Bouddhisme. Ces formules sont censées contenir un certain pouvoir. Pour la voie Chrétienne, la formule peut être une des suivantes : « Jésus Christ », « Jésus Marie » ou « Seigneur Jésus Christ ayez pitié de moi, pécheur »
11 Voir la planche du F. Vincent : "Le Temple Image du corps Humain".
12 Les Fonctions Universelles sont associées à une mode de pensée vertical. C'est une manifestation spécifique de Dieu dans la Création. Elles sont intégrées dans les constituants du corps de l'homme. Mais pour l'homme naturel, elles sont dans un état très éloigné de la fonction divine. Il est possible de réaliser l'homme cosmique par le réveil de ces fonctions dans le corps. Citons Schwaller dans L'Ouverture du Chemin : « La manifestation la plus tangible du monde des Causes est celle dès fonctions qui régissent notre existence. Ces fonctions se sont incarnées dans notre corps physique sous formes d'organes. Disons organes, disons planètes, parlons du cœur ou du soleil: nous avons simplement cité des manifestations fonctionnelles de la vie. (page 44) », «le chemin est la réanimation consciente du corps entier, et la constatation du jeu de ses fonctions et de toutes ses réactions animiques [... ] (page 79) », «la Connaissance est donc l'état d'identification avec un état d’être ou une fonction (page 122) » et «il faut, pour y parvenir, prendre soin chaque jour selon la belle parole du rituel égyptien de « donner la maison à son maître »: après avoir éveillé la conscience fonctionnelle des organes par une concentration méditative sans crispation, il faut pratiquer intensément la médiation du cœur. (page 196) »
13 Voir une description et un exemple du processus dans la Planche : "Les nombres en Franc-Maçonnerie".
14 « Le premier signe de son ouverture sous sa forme extériorisée est très souvent la vision d'étincelles, de petits points lumineux, de petites formes lumineuses, etc..., ce qui en a été pour vous la première expérience ; la deuxième est assez souvent, très facilement des objets lumineux ronds, comme des étoiles ; la vision de couleurs est une troisième expérience initiale ; mais cela ne se présente pas toujours dans cet ordre. »
(Lettres Volume 1 Shri Aurobindo, vision supraphysique page 155 du 19 février 1932).
15 Le sens « guérison » est pris de façon général. C'est à dire que cela consiste aussi bien en la guérison d'une maladie, que du fait de retrouver du travail, etc... L'état maladif étant celui de l'homme éloigné de son archétype divin fondamentalement parfait.
16 La Gnose est le savoir caché qui régénère. Voir l'article Les Gnoses et la Gnose de JM d'Ansembourg.
17 Connaître ou "Naître avec". La Connaissance est une nouvelle naissance. Voir à ce sujet l'introduction de La Doctrine de Schwaller dont voici un extrait : "L'effort que j'ai fait n'était en vérité qu'un effort de dévoilement et non d'acquisition. […] Ceci constitue l'un des aspects de la question ; le second aspect est la révélation. […] La révélation n'est pas une inspiration, un éblouissement subit. Elle constitue un véritable accouchement. Ainsi que chez la mère, le terme naturel indique le moment où l'événement doit se produire, et se produit ensuite avec toute lu douleur d'un effort exigé par la nécessité, mais qui est par inertie refusé par le corps […] La révélation, on la sent venir, on sait que le temps est venu où un obscur mais puissant désir vu se réaliser... ".
18 La Connaissance ne s'apprend plus par les livres mais par Anamnèse. En effet, La Connaissance existe déjà en nous. Seule sa réactualisation est nécessaire.
19 Voici un extrait du Fil d'Ariane N°63-64, "In Memoriam", concernant Le Baron d'Hooghvorst écrit par J.M d'Ansembourg "Combien de porte n'a-t-il pas ouvertes, réussissant à la fois à élargir et à préciser la compréhension de l'essence et de la substance des Écritures saintes et sages ? [ ...] Ses auditeurs auraient pu dire alors, comme les pèlerins d'Emmaüs : "Notre cœur n'était-il pas tout brûlant au-dedans de nous quand il nous parlait en chemin et qu'il nous expliquait les Écritures ? "
20 Quadrant de l'éveil de Rémi Boyer page 27.
21 « Les trois images du don total de soi au Divin : 1) Se prosterner à ses pieds dans l'abandon de tout orgueil, avec une HUMILITÉ parfaite. 2) Déployer son être devant lui, ouvrir son corps tout entier, de la tête aux pieds comme on ouvre un livre, étalant ses centres afin de rendre visibles tous les mouvements dans une SINCÉRITÉ totale qui ne permet à rien de rester caché. 3) Se blottir dans ses bras, se fondre en lui dans une CONFIANCE tendre et absolue » (Agenda 19 octobre 1955 Mère).
22 C'est la dernière couche consciente dans le sens de la purification (transmutation) et la première conscience ayant existée dans le sens atavique, c'est à dire transmise de génération en génération (évolution), C'est un NON angoissé à la vie elle même. Nous le portons tous car il nous est transmis de génération depuis la toute première conscience.
23 Le supramental est au-delà du mental. Il ne s'agit pas d'un sommet de la conscience humaine mais d'une toute autre conscience. C'est le soleil noir dont parle le Véda. C'est l'éveil de la matière elle même.
24 Nous possédons le témoignage de Schwaller de Lubicz qui est mort par un dépouillement progressif et conscient des diverses enveloppes ou états destructibles, chaque dépouillement s'accomplissant comme une délivrance aussitôt suivi d’une plus grande lumière. Voir le chapitre correspondant dans Aor, sa vie son Œuvre et le commentaire de Blandin dans Le Quadrant Clef Universelle.

"COMMENTAIRE DU TEXTE DE MÈRE"
NOTES 25 à 34


25 Répétition d'un mantra.
26 C'est une force divine transmutatrice. Elle est identique au Saint Esprit.
27 « Dans notre yoga, il n'est pas fixé de mantra, un n'insiste pas sur les mantras, bien que les sâdhaks puissent en utiliser un s'ils le trouve utile, ou tant qu'ils le trouvent utile. Mous insistons plutôt sur une aspiration dans la conscience et une concentration du mental, du cœur, de la volonté, de tout l'être. Si on utilise un mantra qui y aide, on l'emploie. Si on utilise OM (pas mécaniquement) il pourrait fort bien aider à l'ouverture vers le haut et vers l'extérieur (conscience cosmique) ainsi qu'à la Descente » (Lettres Volume 1 Shri Aurobindo, le mantra, page 186 pas de date).
28 « Je crois que les tantriques reconnaissent sept chakras. Théon lui, disait qu'il en connaissait davantage, et notamment deux au-dessous du corps et trois au-dessus. C'est aussi mon expérience : j'en connais douze. Et vraiment, être en contact avec la conscience divine c'est là (Mère fait un geste au-dessus de la tête), ce n'est pas là (le sommet du crâne). Il faut jaillir au-dessus » (Agenda 11 octobre 1960 Mère).
29 C’est la sacralisation de l'homme ce pour quoi il est né.
30 Précisons que le terme humilité ne possède pas de connotation péjorative. Tout dépend ce que l'on projette dessus. L'humilité vers le Divin peut être et doit être sincère. Cela ne m'empêche pas de reconnaître en moi de la fierté et de l'orgueil. Mais j'en fais aussi don au Divin.
31 De même, Mouravieff Gnosis Tome I Pages 26 à 28: « Le contenu de l'homme est comme un vase rempli de limaille à l'état de mélange par action mécanique. Si bien que tout choc subi par ce vase provoque un déplacement des parcelles de limaille. C'est ainsi que la vie réelle échappe à l'être humain, du fait du changement constant de sa vie intérieure. Cependant, comme nous le verrons plus tard, celle situation insensée et dangereuse peut être modifiée de manière favorable [...] A son tour, cette sensibilisation intensifie l'amplitude et la fréquence des mouvements lors du déplacement des parcelles de limaille. Ainsi, les chocs auparavant inaperçus provoqueront désormais de vives réactions. Ces mouvements par leur amplification continue, pourront entraîner entre les parcelles de limaille un frottement d'une telle intensité qu'un jour on pourra sentir le feu intérieur s'allumer en soi. [...] Un feu vif, ardent, une fois allumé, doit être soigneusement entretenu par la volonté d'affiner et de cultiver la sensibilité. S'il en est ainsi, notre état peut changer: la chaleur de la flamme pourra provoquer en nous la soudure. Désormais, le contenu intérieur ne formera plus un amas de parcelles de limailles; il formera un bloc. » et pages 62-63 «Nous avons vu que la personnalité est constituée de petits moi, dont chacun s'affirme à son tour par l'une des combinaisons possibles des centres et de leurs secteurs. Ces petits moi forment la limaille qui, dans certaines conditions, frottement et feu, est susceptible d'une transformation radicale par ce que nous avons appelé soudure, c'est alors que le caractère de l'homme peut être considéré comme effectivement formé. »
32 D'après Reghini, le cœur est représenté en Egypte par un vase à deux oreillettes. Ce sont les oreilles du cœur qui permettent d'entendre Hermès en nous !
33 « La porte ne s'ouvre pas dans la prière mais seulement clans le silence de tout l'être à zéro, ce qui est un état bien rare à obtenir, c'est à dire sans foi et sans doute, sans espoir et sans regret, sans désir de connaître, fût ce Dieu, et détaché de tout, le créé et l'incréé. C'est comme un grand vide en soi sans écho, sans douleur et sans joie, un grand repos comme les limbes, la parfaite vacuité, l'effacement absolu. C'est là qu'il dit son petit mot et qu’il montre sa présence, quand tout nous est devenu égal. Ainsi ne cherchez pas trop, ne priez pas trop, car la vrai adoration c'est de se taire et de ne pas bouger afin de voir et d'entendre. »
Cattiaux dans le Fil d'Ariane n'11 page 59.
34 Voici un petit résumé personnel de Sri Aurobindo de Satprem
(La transformation - Pages 343 à 406) :
Les différentes caractéristiques du Feu agissant :
-Agni mental : concentration dans le mental, inspirations ; tension.
-Agni psychique : concentration sur âme, le cœur ; poitrine foyer intense.
-Agni vital : concentration dans les émotions (ouverture) ; pulsion serrée
au niveau du nombril.
-Agni fondamental : le poudroiement d'or, ça bouillonne partout. Le
progrès d'Agni dépend de la conscience des cellules et du nettoyage du
subconscient. Le reste est un travail de conscience.




"V. ANNEXES : LA MÈRE , ENTRETIENS"
NOTE 35




35 Dans le texte les caractères gras marquent ce qui me semble important.





VI. Bibliographie

Satprem

Sri Aurobindo ou l’aventure de la conscience

Sept jours en Inde avec Satprem Entretiens avec Frédéric de Towarnicki

Mère

Entretiens (7 tomes)

L'Agenda (l 3 tomes)

Sri Aurobindo
Lettres - Volumes I et II


Max Théon
La revue cosmique

Isha Schwaller de Lubicz

L'Ouverture du Chemin

La Lumière du Chemin

Aor, sa vie, son œuvre
La Doctrine

Rémi Boyer

Le Quadrant de l'Éveil

Alain Blandin

Le Quadrant Clé Universelle

Emmanuel d'Hooghvorst

Le Fil de Pénélope - Tomes I et II

J.M. d’Asembourg

Les gnoses et la gnose

Le baron d’Hooghvorst

Gaston Bardet

L'imitation Du Christ

La Signature du Dieu-trine
Pour toute âme vivant en ce monde,
vol. I Il n'y a qu'un chemin
Mystique et magie

Louis Cattiaux

Le Message Retrouvé

Le Fil d’Ariane N° 11

Mouravieff

Gnosis Tome I


Planches Maçonniques

"Les nombres en Franc-Maçonnerie" -1-

Frère Philippe
"La Prière"

Frère Vincent
"Le Temple Image du corps Humain"
Frère Denis
"Les différents modèles du monde"

Frère Marc
"Commentaires sur les entretiens de mère"

(VII. Bibliographie complémentaire)
de Frère Denis


Denis Labouré

-Alchimie du Feu céleste T.I et T.II

-Le christianisme secret-le corps de lumière-


Théophane le Reclus (1815-1894)

-Les fruits de la prière

-L’art de la prière
Ed. Abbaye de Bellefontaine

Karl von Eckartshausen (1752-1803)


Antoine Faire - Paris 1969

-Eckartshausen et la théosophie chrétienne

Cassien (360-445)

-Instructions

-Conférences

Abbé Germain

Abbé Isaac

-Premier verset et psaume 69 : « Dieu sauve-moi ! »
Boris Mouravieff

-Récit de N.A Motovitov avec Séraphin de Sarov
Isaac le Syrien

-« L’art de la prière »
Higoumène Chariton de Valamo

-Spiritualité orientale n°18
Ed. Abbaye de Bellefontaine
Récits d’un pèlerin russe, éd. Le Seuil, Poche ou BD

(Anonyme)

Jean-Yves Leloup

-L’Absurde et la grâce

Ed. Albin Michel
Satprem

-L’Agenda de Mère T.1 à T.13
Sri Aurobindo

-Lettres sur le yoga Vol.1 à Vol.6

-La synthèse des yogas

T.1 Le yogas des œuvres

T.2 Le yoga de la connaissance intégrale, le yoga de l’amour divin
T.3 Le yoga de la perfection de soi.

SOMMAIRE
TÉMOIGNAGE D'UN FRÈRE
D'OCCIDENT:INTRODUCTION

LA VOIE TELLE QUE JE LA VIS

LE YOGA INTÉGRAL AVEC MÈRE